[1er RP de Ozalia 2] Balade pensées et monologue... [privé avec la premiére personne qui squatte]

Ainsi posée, blottit contre une vieille souche d'arbre de taille enviable, la première chose que l'on remarquait d'elle était sa longue tiniasse ébaine...près d'un mètre de filasse noire jaie plus douce que le velour... Son visage si pâle se fendait en deux, séparé par une longue mèche glissant le long de son nez légèrement en trompette, masquant élégement son oeil droit avec opacité.
Ses lèvres comme irréellement pilpeuses sans aucune grossierté se paraîent d'un rouge sanguinolant. A l'ombre de ce soleil malsain qui brûlait sa peau diaphane, Ame errait le coeur en peine parmis ce regroupement anarchique de prairies offrants un spectacle des plus harmonieux.

Sa cheveulure se disperçait au gré du vent qui semblait s'en amuser... Lassive de tout, la jeune femme se laissait porter par le temps qui défile comme un chat quittant son logis va guetter la mort qui l'appel.
"Ahm...C'est quand, que tu meurs?"

Son bras se tendait vers le ciel, entre ses doigts entre-ouverts glissaient quelques infimes rayons de soleil, leur astre mère, cachée au creux de la paume de sa main. Et quand bien même elle aurait refermer son petit membre sur lui-même, son voeux ne saurait être exaucé si facilement, et le voulait-elle seulement vraiment?

Rêverie, rêverie, rêverie, puis soudain le son d'une autre voix lui parvient, son esprit s'était étrangement acquitté de la lourde porte qui le gardait éloigné du réel. Comme un sentiment de mélancolie sur fond de tristesse...
Se redressant vivement, elle aperçut l'objet de son attention, il miroitait à la lumière come une cage à oiseaux au fond d'un grand jardin.
Un homme évanouit dans un songe restait immobile à 20m d'elle...

Marchant à quatres pattes telle une enfant, Yoru-san se glissait avec lenteur vers l'être en question, le regard vif d'une gamine, brillant devant une suçette, un bel objet venait d'appraître à ses yeux clairs, serait-il amusant?

Jacen toujours allonger à scruter le ciel, continuait de rêver de ce qu'il ne pouvait avoir, une vie calme sans combat où il pourrait vivre tranquillement, mais après réflexion il s'ennuierait à mourir dans cette vie. Lui qui s'est habitué à ses missions dangereuses faites avec son escouade. Plus il réfléchissait et plus il s’apercevait qu’il n’avait jamais eu vraiment de vie privée. Personne ne l’attendait chez lui quand il revenait d’une de ses missions. Sa seule vie privée était soit avec Ethan, son ancêtre, soit avec son escouade en ville et encore en général ils parlaient de quelques délire de missions. De plus tout son commando avait une vie privée derrière eux. Régina sortait avec un avocat réputé à Ozalia, John était marié avec une doctoresse et Zack enchaîné les liaisons amoureuses. Il était un des seules à n’avoir personne dans sa vie hormis sa sœur et encore il ne la voyait que très peu. Il n’avait d’ailleurs jamais cherché à rencontrer le grand amour, aujourd‘aujourd’hui encore c‘est le cas. Après quelques instant il ressentit une forme de vie s'approcher. Son pouvoir d'électricité lui permettait de sentir l'énergie électrique que généré tout corps organique. Mais après tous si cette forme de vie voulait l'attaquer, il n’aurait qu’a lever une barrière électrique pour se protéger. Il ferma les yeux avant de parler à la personne qui se rapprochait, sans pour autant se relever, avec un ton de plaisanterie.

- Je vous intéresse autant que sa ?

Même s’il ne savait pas si c’était un homme ou une femme qui se rapprochait. Il espérait que cette forme de vie ne lui voulait pas de mal, il n’aimait pas se battre pendant ses jours de repos. De plus aujourd'hui était un jour très agréable avec un ciel bleu avec quelques nuages aux formes amusantes, si l'on avait de l'imagination, et une petite brise agréable.

L'autre restait serein, à se prélasser au soleil, son corps devait être brûlant à force de cramer doucement sous se radiateur ambulant qu'est le Soleil.
Stopper à moins d'un demi-mètre de l'inconnu, la brunette se tapis dans ce parterre de fleur qui constituait son terrain de jeu du moment, là à la portée du vent, si elle ne touchait même plus du regard l'homme qui brillait à côté d'elle, quelques unes de ses mèches frôlaient une masse constistante, aussi sans avoir à le vérifier d'un coup d'oeil elle comprit que ses cheveux caressait l'objet de son intention.

Là, en chien-de-fusil, vautrée en boule sur le sol tiède, Yoru laissa passer plusieurs minutes avant de daigner régair aux paroles que lui portées son interlocuteur.
"Un rien m'intéresse, la question est de savoir combien de temps serez vous capable de m'amauser..."

Jacen se demandait se qu'elle entendait par "l'amuser". Voulait-elle dir se battre ou faire mumuse dans les deux cas il s'en fichait un peu. Il sortit un bouquin intitulé : Prof, lycéen et problème. Un petit roman sympa assez drôle où le personnage est un lycéen qui se fait engager en tant que prof dans un collége de fille. Se livre assez marant lui avait été offert par soeur pour son anniversaire le mois dernier. Le fait qu'il est sortit son livre et qu'il commence à le lire, signifiait qu'il se fichait un peu que la jeune femme lui saute dessus ou essais de l'attaquer et puis le fait de savoir que certaine femme se véxait quand on faisait exprés de ne pas s'intéressé à elle l'amuser.

- Puis-je savoir comment s'appelle la personne qui veut que je l'amuse ?

Il était rare que Jacen rencotre des personnes quand il était dans les plaines vu que celles-ci était souvent remplis de créature en tout genre comme des Vampires et des Skeletons.

L'homme venait de se plonger dans quelque chose qui semblait beaucoup l'intéresser, quoi? Mais son corps lui parut saoudain trop lourd, pas envie de se bouger pour voir, et puis, d'elle à lui, elle savait pertinement que quand bien même cette chose qui l'intéressait saurait le captiver, une part de son esprit resterait ouvert à elle, ne serait-ce que par soucis de replique en cas de combat...

Réplique peut amusant, trop commune, mais bon, les bases de la politesse ne pouvaient lui être reprochables.
"Votre capacité à m'amuser ne réside pas entre vos mains, ce n'est pas à votre contrôle...mais au mien..."

Sa voix était lençinante, comem si Yoru n'allait pas tarder à s'endormir. Un oeil ouvert, elle luttait véritablement contre Morphée qui semblait pressée de venir l'embrasser tendrement.
"C'est quoi, ce qui vous intéresse tant que ça là?"

Hum...
En fait Yoru commençait dangereusement à s'endormir, abattue par la chaluer de ce maudit Soleil, le vent léger qui les rafraîchissait il y a encore peu s'était totalement dissipé.

Se redressant énergiquement, la brunette ne mit pas longtemps à se réveiller, le regard vif, mais la bouche patteuse... la jeune femme tirait une moue de gamine, les yeux ronds comem des bille, les pomettes luisantes et les joues gonflées d'air -elle faisait celà très souvent, que se soit pour faire semblant de bouder, quand elle s'ennuit mais pour le moment elle réflechissait à ce qu'elle allait faire-.
J'ai soif!

Ni une ni deux, la voilà repartie, piètinant à grandes enjambées les différents parterres de fleurs qui s'offraient à elle tout au long de son chemin.
Yoru-san disparut ainsi de la vision de son nouveau terrain de jeux durant près de 45min. Ce n'est pas que la ville soit bien loin d'ici, environ 15min à pied, mais lorsqu'un rien vous fascine et vous fait rire, le temps s'accèlère tout de suite.
Ne se pressant pas vraiment, l'echeveulée de service se demandait s'il serait toujours là à son retour? toujours à bouquiner?

Et elle marchait à travers champs, son long jupon noir transparent s'agrippait aux fleurs qui venaient caresser ses mollets, parfois même remontaient jusqu'à ses cuisses, la barette de bois qui tentait de retenir un minimum ses longs cheveux en arrière ne faisait plus son office depuis longtemps et finirait même par tomber, mais qu'à cela ne tienne, Ame gardait serrer des ses bras deux grandes cannettes de jus de fruits frais ainsi qu'une bouteille d'eau minérale, de quoi occupé ses mains à autre chose qu'à sa tiniasse ébaine.

La demoiselle n'était plus qu'à 50m de là où elle avait trouver le bel objet qui lisait.

"Hmpf...je devais être devin dans une vie entérieur..."*blasée*
Et c'est avec étonnement peu de surprise que bien que le tas d'herbes sur lequel reposaient ses fesses il y avait encore quelques minutes et qui en portaient toujours les stigmas, restait bien la seule chose qu'il eut rester de l'homme de tout à l'heure...

Pas déprimée pour un sou Ame entreprit alors, après avoir fait "si-ssise" sur les paquerettes, de boire son jus de fruits qu'elle diluait avec un peu d'eau.
La nuit n'était pas encore tombée, de quoi rêvasser tranquillement avant que la fraîcheur ne vienne l'agresser.

Finallement la jeune femme s'endormie en boule à côté de sa cannette et de sa bouteille d'eau vides.