Disraeli Ayabis :journaliste complétement folle. [validée]

Nom : Disraeli
Prénom : Ayabis
Age : 20ans
Pouvoir :Animorphose (chat)
Guilde : Civil
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Taille : 1m62
Poids : 43Kg
Sexe : féminin
Signe particulier : Trois piercings sur le bas de l’oreille droite ainsi que un en haut et une boucle d’oreille. De même à gauche.
Description physique :Ayabis n’est pas le genre de fille grande ultra mince et invisible. Elle est plutôt correct pour son âge. Elle mesure 1m62 et un poids de 43 kilogramme. Elle n’est pas des plus discrète. Enfin c’est certainement à cause de son caractère. Elle n’a rien à envier aux autres. Elle se trouve très bien comme elle est.

Ses formes sont fines. Des bras fins, très peu musclés tout comme ses jambes. Un corps maigre. De fines épaules portant un coup maigre et proportionné par rapport au reste de son corps. Une poitrine ni grande aux point d’en être vulgaire, ridicule ni petite comme celle d’une enfant qui commence à en développer une, elle est tout à fait correcte pour son âge et sa taille.

On la nomme aussi poupée de porcelaine, et pour cause, sa peau est aussi blanche et douce que la porcelaine. Des grands yeux couleur noire et scintillant. Juste au dessus de très fins sourcils, presque invisibles, se laissant pourtant deviné par leur couleur brin. Des lèvres si fines et couvertes d’un rouge à lèvre de couleur variante selon la tenue se trouvant juste en dessous d’un petit nez. Des cheveux lisse et soyeux, brillant de tout leur éclat noir. Ils sont court toujours coiffer en bataille. Ils n’ont pas vraiment de place donc on peut dire qu’ils sont bien placés.

Notre jeune fille de 20 ans s’habille plutôt façon punk. Mais elle porte souvent son jean délaver et déchirer en bas, un débardeur noir et une veste sans manche rouge à carreau noir. Sa ceinture à pique plat avec laquelle elle fait deux tours, ses bracelets à pique et son collier noir ras de coups. Et aux pieds ses Rocking horse ballerina.
Description vestimentaire : Elle est souvent habillée de façon punk et si ce n’est pas le cas c’est pour un style un peu plus sage mais jamais vous ne la verrais avec un tailleur.
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Style de combat* : Elle utilise quasiment tout le temps son arme. Son pouvoir et un attout.

Armes : Elle combat au corps à corps, logique puisque dans ce monde avancer l’armement ne l’est qu’au stade expérimentation. Elle porte deux petits sabres qui réunit en n’un n’en fond plus qu’un seul.

Objet secondaire* : Son paquet de cigarette et son briquet édition limiter : vivienne westwood qu’elle porte autour du coup.
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Caractère : Oula. Là vous partez sur un terrain miner. Je vous conseil de penser à prendre de quoi vous protéger. C’est une vraie bombe.

Ayabis vit au jour le jour. Elle se moque de ce qui l’entour. Le monde pourrait être entrain de se détruire elle s’en moquerait et vivrait sa vie tranquillement enfin pas si tranquillement puisqu’elle aime faire la folle. Elle n’aime pas la monotonie, cela se voit dans ses articles de journaux qu’elle publie dans le « Penna Viratea ». Une vraie folle. Elle rie de tout et n’importe quoi.

Mais elle n’a pas toujours aussi douce que ce qu’il paraît. Elle peut être aussi froide que la glace. Elle ne mâche pas non plus ses mots. Elle se moque bien si il peuvent blessaient ou pas. Elle dit ce qu’elle pense clairement et franchement. Il ne faut pas la chercher c’est tout. Elle se fait pas mal d’ami comme d’ennemi. Certainement du à son caractère. Elle s’en moque une nouvelle fois.

Si on ose dire d’elle que c’est une maniaque alors la je vous conseil d’aller jeter un coups d’œil sur son bureau et dans son appartement. Un vrai désordre. Sur son bureau traînent : papier, canette, paquet de nourriture vide et une corbeille pleine. Parfois elle prend le temps de le rangeait un peu. Quant à son apparte et bien le linge traîne par terre, la vaisselle salle s’empile dans le lavabo, le panier à linge salle et plein à rebord, livre, cannette vide, sachet de nourriture vide au sol. Mais elle range quand même son apparte de temps en temps. Sinon se serait invivable.

Famille : Oula. Alors la famille… Bon bah faut refaire le tour. La mère… Bah on ne sait pas. Ayabis l’as perdue de vue il y a peu. Pour le père, il l’a renier pour on ne sait qu’elle raison. Et elle n’a pas de frère ni de sœur.

Vie sociale : Bah appart le bar elle attend de s'en faire une.

Loisirs* : Traînait dans les bars. Réfléchir à des articles pour son journal. Et euh s’amuser tout simplement.

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Histoire :

Je vous passe mon enfance pour la simple raison que je ne m’en souviens plus. Je n’ai pas une grande mémoire dessus. Juste quelques souvenirs comme dans le zoo quand je me suis fait arroser par un éléphant, ou bien mon anniversaire de mes 6 ans où j’ai arroser mon parrain de coca-cola. Passons plutôt à mes 18ans.

*

Maria« Aya !!!! Tu fou quoi ? »
Aya’« J’arrive !!! Attend moi Maria !!!! »
C’est pas compliquer : Je vais en ville faire la fête à je ne sait qu’elle heure avec ma meilleur amie : Maria. Une vraie folle dingue. Enfin certainement pas pire que moi. Mais en faite je crois pas que je vais pouvoir sortir. Bah oui j’avais comme qui dirait oublier le padre. Me voila coincer dans le salon entrain de me disputer avec ce c*n de père. ah bah voilà c’était à prévoir,je viens de me prendre une claque majestueuse. C’est sur, je sort en colère. Au revoir la maison, au revoir le c*n de padre.
Maria » ça va ? »
Aya’ « Mouai. De toute façon il était temps que je quitte le nid familial. »
Maria « C’est sûr. Si tu veux je peux demander à mes parents de te louer notre studio ? »

*

Et voila comment je me retrouve à vivre seule dans ce studio. Maintenant je crois, si je me souvient bien, deux mois après avoir emménager j’ai commencer le penna veritae. Voilà comment ça c’est passer.

*

Maria « Dit, il serait temps que tu te trouve un boulot. Je sait que t’as pas fait d’étude mais bon il faudrait quand même que tu te trouve un truc. »
Aya’ « T’as raison. Tien je sais. On a toujours voulut être journaliste ? Et bien on va ouvrir notre propre journal. Je prendrait des études en même temps comme ça je pourrait ouvrir mon propre journal. »
Maria « Ouai ta raison !!!! »
Et voila, c’est partie, direction les bâtiments d’études. La plait va falloir étudier. Argh, bon c’est pas grave c’est pour la bonne cause. J’ai d’abord travaillé en temps que journaliste dans un autre journal et petit à petit j’ai ouvert ma propre boîte.

*

Et voila, je crois que j’ai fait le tour des choses importante. Ah non j’ai oublier de vous parlez de cet accident. C’était il y a un an.

*

Aya « Maman qu’est ce que tu fais ici ? Je t’avais bien dit que je ne voulais pas te voir chez moi !!!! »
Mère « Ayabis, chérie écoute moi, je n’en peux plus de cette dispute qui vous sépare toi et ton père. Je te propose de vous rencontrez… »
Aya’ « Je ne veux pas entendre parler de lui ! »
Et voila que je lui claque la porte au nez. Ah bah oui elle la cherchait. Fallait pas me parler de ce c*n. Sauf que 20 minutes plus tard, devinez qui m’appelle ? Et bin oui c’est lui.
Aya « Quoi ? »
Père « Je suis à l’hôpital, ta mère a eu un accident de route. »
Aya « J’arrive ».
Je prend ma veste, mes lunettes de soleil et je cour à l’hosto. Grr il est dans la chambre de ma mère, génial et je fait comment moi ? Je peux pas voir sa tête tellement que ça me donne envie de vomir.
Père « Je te laisse avec elle. »
Ah génial. Je crois que je vais devenir croyante moi. Bon aller zou on va voir l’handicaper.
Aya « ça va ? »
Mère « oui, mais je crois que ton père… »
Aya « Je m’en fou !!!!!!!!!!! »
Et bien voila même dans ces conditions je m’énerve. Je reprend ma veste et me barre. J’ai très bien comprit ce qu’elle voulait me dire. Elle croit que mon père veut se faire pardonner. Qu’il crève !!!

*

Et bin voilà vous avez à peu près toutes les choses importantes de ma vie. Ah oui Maria et moi on travail ensemble, on est comme les cinq doigt de la main : inséparable !


Anciennement ktoku et héna sur l'ancien Ozalia